Selon de nombreux philosophes, psychologues et experts en développement personnel, la positive attitude serait « la » véritable clé de la sérénité. Faut-il y croire ou pas ? Comment la pratiquer ? Enquête au cœur d’un sujet essentiel à consommer sans modération !
Pour les femmes, autant dire que la plénitude serait à peu près à tous les âges en fonction des magazines, des modes, de l’objectif recherché. Force est de constater que le vieillissement global de la population, ou les progrès de l’espérance de vie si l’on veut être plus optimiste, sont passés par là… Mais plénitude ne veut pas forcément dire sérénité, car les aléas de la vie et le contexte sanitaire actuel peuvent mettre notre moral à rude épreuve.
LA PLÉNITUDE FÉMININE EN QUESTION
La plénitude féminine a cela de particulier qu’elle semble fortement liée à l’apparence physique. En effet, dans les années soixante, vingt-cinq ans, voire trente, semblaient représenter l’âge d’or. Celui où l’on était au top de sa forme, de son physique, mais aussi souvent déjà installée dans la vie, relativement sûre de soi et de son avenir. Avec les années 70 et 80, les 30 puis 35 ans deviennent l’apogée de la femme, qui de plus devient active, ne se marie plus si jeune, devient mère un peu plus tard. Voici venir les années 2000, et l’avènement de la quarantaine ! Non plus l’âge de la maturité telle qu’on l’entendait autrefois, mais l’âge idéalisé où l’on peut enfin savoir qui l’on est. Et si vous écoutez autour de vous, voici venir les nouvelles cinquantenaires et soixantenaires.
QUAND LA VIEILLESSE RECULE
Au fil de toutes ces années, l’apparence de la femme a rajeuni, tout comme son style. Il suffit de voir les publicités « Mère-fille » pour s’en convaincre. Rien d’extraordinaire a priori, étant donné que les progrès de l’alimentation, de la médecine, sans oublier les soins esthétiques ont totalement modifié le look de la femme moderne. Le style et le physique ont donc rajeuni, et la plénitude de l’âge suit donc la courbe inverse, en s’adressant à des femmes de plus en plus âgées.
UNE HISTOIRE D’ÂGE SEULEMENT ?
La plénitude est souvent reliée à l’âge, et nous l’avons vu, un âge variable. Nous voulons rester jeunes, ne fût-ce qu’en apparence, et après tout, nous avons bien raison. Il n’y a rien de particulièrement glorieux à se laisser aller. Entre la dictature du jeunisme et la sagesse de l’âge, il semble logique de chercher un juste milieu ; même si le décompte de nos anniversaires sonne chaque année notre âge réel et non pas virtuel ou désirable. Pour autant, on retrouve des points communs chez les personnes qui évoquent cette sensation de plénitude :
• La sensation de la jeunesse
Une sensation qui concerne donc en priorité les personnes mûres. En effet, lorsque l’on est jeune, on peut ressentir ce bonheur d’être jeune, d’avoir la vie devant soi. Moments fugitifs et rares. Mais lorsque le temps se raréfie et que l’avenir raccourcit, cette sensation d’être « encore » jeune est forcément plus intense et participe à une impression de bonheur et d’optimisme.
• La conscience du temps
Elle permet d’être plus heureuse car la conscience est là. Etre conscient du bonheur au moment présent est difficile. Nous ne pouvons pas toujours vivre sur un petit nuage rose, que ce soit au bureau ou à la maison. Il n’empêche que l’âge permet de se rendre compte de ce à quoi l’on est arrivé ou du chemin qu’il reste à parcourir. Les sensations sont donc non pas plus intenses qu’à vingt ans, mais la prise de conscience est bien plus élevée.
• L’expérience
Le mot est lâché. Souvent associé à l’expression « plénitude de l’âge », l’expérience est en effet un élément extrêmement positif. Elle nous apprend à ne pas refaire les mêmes erreurs, et nous donne le recul nécessaire pour aborder les situations difficiles avec plus de sagesse. Et le fait de parvenir à se maîtriser est une satisfaction. Elle permet aussi de pouvoir conseiller à bon escient sa progéniture, du moins lorsqu’elle demande un avis.
• De nouvelles passions
Pour autant, toute cette sagesse ne signifie pas que l’apprentissage de la vie se termine, bien au contraire ! Le fait de se sentir plus libres, plus conscientes de ce que nous sommes vraiment et de ce à quoi nous aspirons, permet de se sentir mieux tout simplement. Ce n’est pas l’envie qui a disparu, mais c’est au contraire la conscience de ses limites, physiques autant que financières ou externes qui est née. Savoir que le temps passe permet de se concentrer sur ses vraies amours.
• Une nouvelle forme de liberté
L’âge n’a pas que des inconvénients. Il permet aussi de savoir si nous sommes vraiment avec le bon partenaire par exemple. Et il ne s’agit la plupart du temps pas du premier mariage. La liberté tient aussi au fait que les enfants deviennent adultes, de plus en plus tard il est vrai, car la conception se fait aussi tardivement. Après toutes ces années à faire le maximum pour sa famille, parfois pour son travail, voici venir un autre temps qui peut parfois effrayer, mais qui est synonyme de « temps pour soi ».
UNE NOUVELLE ÉTAPE DE VIE
Cette liberté si elle peut effrayer dans un premier temps après toutes ces années d’hyperactivité entre enfants, maison et conjoint(s), permet de se recentrer sur soi et sur ses vrais besoins.
• La plénitude passe par la connaissance de soi
Parfois, elle se forge de façon spontanée : des moments de bonheur où tout se met en place comme par miracle. Mais il ne faut pas toujours compter sur le hasard. Réfléchir à la personne que l’on voudrait être, en connaissant pourtant ses propres défauts et limites, en assumant les responsabilités que l’on a dans sa vie, permet de tendre vers une situation plus en rapport avec ses aspirations. Il est assez logique que cette plénitude corresponde donc effectivement souvent avec l’âge, un âge qui correspond à la fois à une meilleure approche de sa propre personnalité, mais aussi à une capacité à prendre des décisions nouvelles.
• Et par une nouvelle assurance de soi
Acquise effectivement avec les années, et différente de celle que l’on pouvait ressentir à vingt ans. Pour la simple raison qu’elle est basée sur la réalité de la vie que l’on a vécue par le passé. L’expression « la plénitude de l’âge » est donc comme souvent une expression du bon sens populaire et non dénuée de réalité. Les années passent, mais si la jeunesse s’enfuit de façon inexorable, c’est une nouvelle femme qui émerge, à la fois plus fragile extérieurement, mais plus solide de par les expériences vécues, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. C’est le moment de s’aimer soi-même, et de trouver une nouvelle quiétude dans sa vie et avec les autres.
SAVOURER VRAIMENT L’INSTANT PRÉSENT
Enfin, un élément essentiel joue également en faveur de l’âge : le fait que sa propre mortalité soit intégrée peu à peu, au fil du temps, donnant ainsi une nouvelle saveur aux instants de bonheur, qu’ils soient solitaires ou partagés. Même si l’âge n’est pas toujours le bienvenu, il nous apporte une richesse et une sérénité qui se construisent logiquement au fil des années. Après 50 ans, les femmes sont conscientes qu’il leur faut savourer l’instant présent et profiter de chaque moment de bonheur, même fugace. D’où l’intérêt de pratiquer la fameuse « pensée positive » au quotidien.
DES BIENFAITS AU QUOTIDIEN
La « pensée positive » est une technique pour aider chacun à se sentir mieux, davantage en harmonie avec la vie. Adopter et conserver cette attitude quotidiennement permet de relativiser les problèmes, d’accorder moins d’importance à des tourments de toutes sortes qui souvent masquent l’essentiel. C’est en cultivant la pensée positive que l’on apprend à mieux se connaître, à profiter de chaque occasion, aussi étonnante soit-elle, qui nous est offerte par l’existence. En période de crise sanitaire avec toutes ses conséquences sur nos vies, la psychologie positive est une barrière au stress, à l’anxiété, au burn out et à la dépression. Quand on sait qu’une grande majorité de Français a le moral en berne actuellement, à juste raison, il est grand temps de pratiquer cette méthode qui peut nous aider à passer la tempête avec plus de sérénité.
TRAVAILLER SUR NOTRE SUBCONSCIENT
Notre subconscient est à l’origine de nos états physiques et mentaux ; c’est par notre imagination que nous pouvons communiquer avec notre subconscient. Nos images et nos représentations négatives ont des effets sournois et dévastateurs. Nous avons cette liberté et cette capacité d’imaginer le possible et le positif. Emile Coué l’a bien compris et en a sorti une méthode d’autosuggestion bien connue. Car entre « méthode Coué » et « pensée positive », il n’y a qu’un pas qu’il suffit de franchir.
LE PÈRE DE LA PENSÉE POSITIVE
Selon Emile Coué, il s’agit bien de l’imagination et non de la volonté contrairement à ce que dit le vieil adage « Quand on veut, on peut ». L’insomniaque veut dormir comme l’alcoolique veut quitter son état, cette volonté ne suffit pas. Il ne s’agit pas de vouloir guérir, mais de s’imaginer guéri. La méthode imaginée par Coué est simple, pratique, facile à mettre en œuvre et gratuite, sans compter que les possibilités de l’autosuggestion sont sans limites. Émile Coué, que l’on peut considérer comme l’un des pères de la pensée positive, formalise sa méthode en une phrase et engage ses patients à la répéter vingt fois de suite et trois fois par jour : « Tous les jours et à tous points de vue, je vais de mieux en mieux ».
DE NOMBREUSES MÉTHODES
Aux Etats-Unis, en Allemagne, en Russie, la méthode Coué et le principe d’autosuggestion se sont rapidement développés. Ils ont influencé et donné naissance à de nouvelles approches ou techniques comme la pensée positive, la visualisation, le training autogène de Schultz, la sophrologie, l’analyse transactionnelle (AT) et la programmation neurolinguistique (PNL). Avec l’autosuggestion, Emile Coué est le père du coaching moderne, « Le marchand de bonheur », comme il était surnommé aux Etats-Unis.
LES CLÉS DE LA PENSÉE POSITIVE
Ainsi est née la pensée positive qui peut réellement influencer votre vie de tous les jours et donc votre avenir. Lorsque vous pensez positivement vous faites élever vos vibrations. Vous émettez des ondes positives qui font élever vos vibrations et qui font aussi élever les vibrations de tous ceux qui vous entourent. Votre projection de pensée positive peut être ressentie par les êtres qui vous entourent aussi sûrement que par vous-même. C’est pour cela qu’il est très important d’avoir le plus souvent possible des pensées positives.
PASSER DE L’OMBRE À LA LUMIÈRE
Pensez-vous constamment à vos ennuis ? Alors, ils se multiplieront. Vous devriez plutôt penser à vos buts. Votre cerveau ne peut retenir qu’une seule pensée à la fois. Alors, habituez-vous donc à remplacer toutes vos pensées négatives en pensées positives. Voilà la raison pour laquelle avoir des buts dans la vie est si importante. Ils vous donnent la possibilité de concentrer votre esprit sur des pensées positives. Lorsque vous pensez constamment aux objectifs que vous désirez atteindre, votre cerveau est saturé, il n’y a donc plus d’espace pour y loger des pensées négatives. Si vous le faites des dizaines de fois par jour, il arrivera un moment ou votre subconscient réalisera votre voeu. Apprenez à bien penser, n’oubliez pas que la pensée est une énergie extrêmement puissante ; elle peut être constructive, mais elle peut être aussi destructrice.
UN OUTIL TRÈS PUISSANT
Votre subconscient peut travailler pour vous ou contre vous. La pensée subconsciente ne possède pas la faculté de juger. Elle exécute simplement les ordres qu’elle reçoit par la pensée consciente. Si vous concentrez votre pensée sur des situations positives que vous désirez vivre, et que vous les visualisez en détail régulièrement, vous transmettrez un commandement à votre subconscient. Une fois que vous lui avez indiqué une direction précise, votre subconscient se chargera de trouver une façon de vous faire vivre ces situations positives dans votre vie. Gardez donc toujours à l’esprit uniquement des pensées positives.
UNE AUTRE FAÇON DE VOIR LA VIE
Pour que la pensée positive « marche », il est nécessaire qu’elle soit ressentie et qu’elle émerge du cœur. Ce n’est pas une pensée à laquelle on nous a « obligés » de croire, qui semble miraculeuse. C’est une façon de penser générale et quotidienne où on décide – avec son cœur, son ressenti, son intuition – de voir, par exemple, que les choses négatives qu’on a l’impression de vivre peuvent avoir un côté positif. C’est décider d’attirer le positif en mettant du positif dans notre vie à travers nos gestes et nos paroles. Cela va de toutes petites phrases anodines à de grandes actions. Pour cela, il faut simplement se permettre de sentir qu’on veut vraiment réaliser le rêve, le désir qui nous habite. On « habite » et on est « habité » par la pensée de la réalisation de ce rêve. Le rêve est alors inscrit en nous. On le sent. On décide d’y croire… et il finit par se réaliser.
VERS UN CONTRÔLE DES ÉMOTIONS
Avec les années qui passent, de nombreuses femmes ont de plus en plus de difficulté à gérer leurs émotions. Apprendre à les contrôler pour mieux vivre est non seulement possible, mais surtout passionnant. En effet, s’il est normal que nous ayons un vécu, une personnalité et donc des réactions différentes, l’excès s’explique la plupart du temps par une somme de frustrations accumulées. Il est donc normal de ne pas exprimer tous nos sentiments comme nous le faisions à un plus jeune âge. Le temps passant, cette maîtrise va finir par cumuler un grand nombre de frustrations sans que l’on ne s’en aperçoive véritablement.
QUAND LE CORPS PARLE
Quand nous vivons une émotion forte (peur, stress, colère…), nous avons parfois du mal à l’exprimer de vive voix. Nous éprouvons de la réserve, voire de la gêne, à mettre des mots sur nos maux. « Quand l’âme est bâillonnée, c’est le corps qui parle », résume Michèle Freud, psychothérapeute. Les maux du corps viennent dire tout haut ce que nous éprouvons tout bas. Ce qui est réprimé s’exprime par le corps qui se fait l’écho de ces silences. C’est le principe de la somatisation.
LE LAISSER S’EXPRIMER
D’ailleurs, n’avons-nous pas coutume d’employer des expressions qui associent notre état émotionnel à notre santé physique : « En avoir plein le dos », « se prendre la tête », ou « se faire de la bile » ? Pourtant, c’est en prenant conscience de nos peurs et de notre émotivité et en les laissant s’exprimer qu’on les soigne et qu’on évite ainsi de les voir se transformer en difficultés, voire même en maladies. Il existe heureusement de nombreuses pistes de développement personnel pour apprendre à mieux gérer ses émotions et à en faire des forces positives dans sa vie. Pour les plus émotives d’entre nous, des solutions existent déjà pour lutter contre cette hyperémotivité.
PRENDRE DU RECUL
Sans un minimum de recul par rapport à soi-même, il est difficile voire impossible de se soustraire à la puissante force de nos émotions, surtout lorsqu’elles ont été longtemps refoulées. Il faut comprendre que tant que l’on refoule ou masque ses émotions, ces manifestations demeurent pour nous un phénomène inconnu dont il est impossible de se libérer. C’est en apprenant, avec patience, à faire connaissance avec soi, que l’on parvient à une parfaite maîtrise de ses émotions et qu’en même temps, nos angoisses peuvent disparaître.
DE NOMBREUSES TECHNIQUES
Il existe bien des techniques permettant de pratiquer la pensée positive. Toutes marchent à condition d’y croire, puisque tout est basé sur l’autosuggestion. Des millions de personnes dans le monde en ont fait une philosophie de vie, afin de mieux combattre les épreuves du quotidien et d’apprendre à affronter les difficultés.
• Apprendre la relaxation
Si le problème est assez léger, apprendre à se relaxer, à respirer et pouvoir appliquer ces méthodes au jour le jour est véritablement un plus et une aide réelle. A la différence de la plupart des techniques de relaxation, la relaxation autoconcentrative ne se limite pas à apporter un état de détente, certes bénéfique ; elle apporte, en plus, une clef indispensable à la maîtrise de soi et de ses capacités personnelles ; la concentration intérieure ou « attention focalisée».
• Méditer en pleine conscience
L’entraînement aux techniques de méditation de type mindfullness (de pleine conscience), qui constituent des petits exercices réguliers de maintien de l’attention dans l’instant présent (sans juger, ni anticiper, ni ruminer : juste être là) et d’observation « neutre » de ses états émotionnels, a montré son efficacité dans la prévention des rechutes dépressives chez les personnes ayant déjà présenté des épisodes de chute émotionnelle.
• La visualisation positive
Il faut entendre par là le terme plus général de représentation mentale. La visualisation consiste à créer dans son esprit une représentation précise de ce que l’on désire voir se réaliser, et à porter régulièrement son attention sur cette représentation jusqu’à la réalisation, ou jusqu’à ce qu’on n’en ait plus envie. Le résultat peut avoir des variantes par rapport à l’énoncé, mais généralement il est mieux que prévu (avec du recul). Pour visualiser, se relaxer, imaginer sur un écran une scène qui concrétise le but atteint, se laisser aller au ressenti que l’on aurait si c’était réalisé, et pour terminer, incorporer cette image, et sortir de la relaxation en gardant cette image et en contractant tous les muscles (début de matérialisation).
• L’affirmation positive
L’affirmation est une déclaration positive que quelque chose est déjà arrivé. Elle peut être faite juste après la visualisation. A haute voix ou en silence. 10 minutes par affirmation. La « méthode Coué » entre typiquement dans ce cadre. Dire à haute voix : « Tous les jours, à tout point de vue, je vais mieux et de mieux en mieux ». L’affirmation doit être faite au présent. Ne surtout pas dire : « Demain j’irai mieux ». Affirmer des choses réalistes. Les formulations doivent être faites sur le mode affirmatif parce que le subconscient n’entend pas les négations. Si on dit « Je n’ai plus mal à la tête », on porte l’accent sur le mal, il faut dire « J’ai la tête parfaitement dégagée ». Il faut se concentrer sur ce qu’on désire faire et non pas sur ce que qu’on ne veut pas.
RETROUVER LE POUVOIR DES MOTS
Les mots ont le pouvoir de transformer des vies ou de les détruire. L’énorme pouvoir des mots, réside dans le sens que les mots ont pour vous. Les mots déclenchent des concepts, des idées, des souvenirs, des situations, des circonstances, et sentiments et émotions qui sont liés à votre mémoire interne. Notre degré de bonheur ou de réussite dépend des mots que l’on se dit ou que l’on s’est fait dire. En disant tout haut ce que l’on désire, nous créons un puissant champ vibratoire qui va attirer les circonstances et les objets que l’on veut avoir si le désir derrière les mots est assez fort. En verbalisant ce que l’on veut, nous extériorisons dans le courant vibratoire de l’univers, nos désirs les plus profonds.
SE DONNER DE L’AMOUR
Quelles que soient la ou les méthodes que vous choisirez pour aller mieux, dompter vos pensés toxiques qui tournent en boucle dans votre tête et vous libérer de la charge mentale particulièrement lourde en ce moment, tout ce travail intérieur qui consiste à mettre plus d’optimisme et de positivité dans votre existence ne marchera vraiment que si vous acceptez de vous aimer enfin. Les femmes ont tendance à donner beaucoup aux autres et à s’oublier en chemin. C’est donc en apprenant à s’aimer, à prendre soin de soi et à s’accorder de l’importance que l’on peut trouver cette sérénité intérieure.
VERS TOUJOURS PLUS DE SÉRÉNITÉ
On le voit, les émotions si elles sont souvent irrépressibles, sont aussi ce que l’on en fait. Positives, négatives, à nous de les prendre par la main, de les apprivoiser et de nous libérer des plus toxiques. A vous maintenant de retenir tous ces conseils d’experts pour profiter de tous les petits moments de joie et de bonheur que vous offre la vie, lâcher prise pour vivre pleinement l’instant présent et cultiver un nouvel optimisme à toute épreuve. Car cultiver la « positive attitude » et donc notre intelligence émotionnelle est certainement la plus belle façon d’avancer plus sereinement dans l’existence, surtout après 50 ans.
• C’est l’art de maîtriser vos pensées négatives,
• Connaître tous les secrets que recèle votre potentiel inné pour l’utiliser pleinement et sciemment,
• Apprendre à gérer vos émotions positives ou négatives,
• Apprendre comment orienter habilement vos ressources personnelles pour réaliser plus facilement vos objectifs,
• C’est également utiliser la pleine puissance de vos capacités mentales.
Un dossier de la rédaction coordonné par Valérie Loctin.